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L'histoire de cette danse d'origine franco-haïtienne nous renvoie aussi à l'histoire profonde de jaillissement progressif de la salsa. Comme dans la salsa, cette danse traditionnelle contient en elle les éléments de mixage entre la culture dominante et dominée dans un Cuba encore livré à l'escalave colonial. Les éléments africains, terrestres et charnels, laissant une large part au tambour et aux vibrations du corps, fusionnent avec les éléments aériens et solonels de la danse européenne. L'origine de la Tumba Francesa explique comment les danses de salon françaises sont entrées dans la culture cubaine... ils ressortent ensuite dans le danzon, dans le son, puis dans le casino, la salsa. C'est en 1791 que la Tumba Francesa est introduite à Cuba avec l'arrivée de propriétaires français qui se sont enfuis avec leurs esclaves pendant la révolution de Haïti, première véritable révolution d'indépendance du Nouveau Monde. Soucieux de leur image du nouveau pays de la liberté (révolution française oblige) ils ont appliqué un traitement plus "humain" à leurs esclaves haïtiens, en leur permettant notamment de pratiquer leurs danses tranditionnelles. C'est ainsi que la Tumba Francesa s'est développée notamment à l'Est dans la région de l'Oriente pour devenir progressivement une danse folklorique cubaine.

Eddie Torres

jeudi, 27 novembre 2014 00:00
Publié dans documentaire
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Les styles en salsa 

Eddie Torres, surnommé the Mambo King, est un des plus célèbres danseurs de salsa au monde. C'est lui qui a énoncé et formalisé les techniques du mambo new-yorkais (salsa portoricaine dansée sur le 2). Des milliers de danseurs sont passés entre ses mains (dont les plus grands tels que Frankie Martinez, Seaon Brystol...) et 300 jeunes se forment chaque année dans son école Dans cette vidéo il explique sa vision des différents styles de salsa, parfaitement en accord avec notre vision de cette danse !

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L'histoire de cette danse d'origine franco-haïtienne nous renvoie aussi à l'histoire profonde de jaillissement progressif de la salsa. Comme dans la salsa, cette danse traditionnelle contient en elle les éléments de mixage entre la culture dominante et dominée dans un Cuba encore livré à l'escalave colonial. Les éléments africains, terrestres et charnels, laissant une large part au tambour et aux vibrations du corps, fusionnent avec les éléments aériens et solonels de la danse européenne. L'origine de la Tumba Francesa explique comment les danses de salon françaises sont entrées dans la culture cubaine... ils ressortent ensuite dans le danzon, dans le son, puis dans le casino, la salsa. C'est en 1791 que la Tumba Francesa est introduite à Cuba avec l'arrivée de propriétaires français qui se sont enfuis avec leurs esclaves pendant la révolution de Haïti, première véritable révolution d'indépendance du Nouveau Monde. Soucieux de leur image du nouveau pays de la liberté (révolution française oblige) ils ont appliqué un traitement plus "humain" à leurs esclaves haïtiens, en leur permettant notamment de pratiquer leurs danses tranditionnelles. C'est ainsi que la Tumba Francesa s'est développée notamment à l'Est dans la région de l'Oriente pour devenir progressivement une danse folklorique cubaine.

Vic 2014

jeudi, 18 septembre 2014 00:00
Publié dans documentaire
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Festival Tempo Latino de Vic-Fezensac, situé dans le Gers, à environ 11h de route de Strasbourg.
Vic pour les intimes, véritable rendez-vous pour les aficionados de la musique latine, vu par beaucoup comme un véritable pélérinage de salsa.
En effet, c'est une ville qui se transforme pendant 3 jours en capitale de la salsa. Mais pas uniquement, car en plus de la cubaine, il y a aussi de la porto, de la bachata, de la kizomba, du merengue... 
Imaginez un lieu où les gens viennent de l'Europe entière voire même plus loin, et dansent partout ! Dehors grâce aux hauts parleurs disposés dans les rues, dans les bars, à la piscine municipale, au camping,  et même au bord d'un plan d'eau à quelques kilomètres de la ville. Vous invitez n'importe qui : c'est très probablement un/une danseur ou danseuse, et qui plus est de bon niveau. La musique dans les rues et les bars où officient parmi les meilleurs DJ, commence généralement vers 18h. Avant, il y a des stages dans différents bars selon la danse choisie. Le soir, il y a des "gros" concerts dans l'arène, celle que certains d'entres-nous ont peu voir lors de l'émission Intervilles. D'ailleurs, même pas besoin d'être à l'intérieur pour entendre les concerts, car des hauts parleurs diffusent la musique autour de l'arène.
Vic c'est aussi le marché comme dans n'importe quelle ville du sud. Bref, vous pouvez vivre ce festival de bien de façons différentes : faire des stages, faire des concerts, faire tranquillement le marché, ne pas s'arrêter de danser dans les rues ou les bars, ou simplement se poser quelque part et profiter du spectacle. Ce dernier ne fini d'ailleurs jamais car après la fermeture du dernier bar, tout le monde va à la Conga pour danser jusqu'au petit matin. D'ailleurs pour ceux qui veuillent s'immerger totalement, ils préféront le camping où la musique ne s'arrète jamais...

Cette vidéo retrace notre séjour à Vic 2014, avec Alex, Daud, Nath, Charly et Bernardo. Il est constitué de cours extraits réalisés avec mon téléphone portable (sauf une séquence et quelques clichés avec mon réflexe) de cette année ).
Ce n'était pas prévu que je fasse cette vidéo, car je n'ai toujours pas finalisé la vidéo de l'année précédente, bien plus immersive et de meilleur qualité. De plus les quelques séquences que j'ai filmé cette année étaient de qualité assez mauvaise, disons que je ne me suis pas vraiment attardé sur le sujet et je ne sais même pas pourquoi j'avais sorti mon téléphone pour faire ces séquences ! Mais après coup, pour avoir un souvenir de cette année, souvenir bien différent de celui de l'année dernière je vous fais quand même partager ces quelques images ! ;-)

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Vidéo réalisée à la Havana et Trinidad (Realisation: Ezaram Vambe)

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Ce voyage cubain commence avec l'une des plus prestigieuses formations de salsa, Los Van Van, qui revendique les influences africaines de sa musique. On part ensuite à la découverte de la santeria, ce fascinant syncrétisme mêlant saints catholiques et divinités du panthéon africain que pratiquent les Cubains. Ainsi à la mi-décembre, des milliers de pèlerins se rendent dans divers sanctuaires pour y vénérer saint Lazare, assimilé aussi au dieu vaudou Babalú Ayé du peuple yorouba. Les fidèles lui sacrifient alors des chèvres et des poules, tout en dansant sur des rythmes légués par les esclaves. Le chanteur Adalberto Álvarez est un fervent héritier de cette culture. Mais les modes de vie évoluent et certains s'inquiètent de la pérennité des anciennes croyances dans ce pays en pleine mutation.

 
 

Incubation

samedi, 03 mai 2014 00:00
Publié dans documentaire
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Voyage de 15 jours à Cuba (Realisation: Guillaume Le Berre)